Contexte
Sur notre agglomération, au moment de la création de Vélocité, l’offre en stationnements (comme en aménagements cyclables en général), était très faible : quelques points desservis, et dans bien des cas par de simples équipements permettant d’insérer une seule roue, donc peu sécurisés puisqu’on peut difficilement y attacher le cadre.
Qu’a fait Vélocité de l’Angoumois ?
A nos débuts nous avons rapidement engagé des démarches auprès de la mairie d’Angoulême, en identifiant les points à équiper en priorité, dont évidemment la gare.
Nous militons en parallèle pour faire adopter l’arceau en U renversé, facilement identifiable et réalisable à bas coût.
La ville d’Angoulême, après une vague d’installation de barrières « Vauban », identiques au barrières piétons, a finalement adopté l’arceau classique.
Plusieurs reconnaissances de terrain ont eu lieu avec les services techniques de la ville pour décider des emplacements de ces arceaux.
Sur d’autres communes (notamment La Couronne), cette réflexion a aussi été engagée.
Quels résultats aujourd’hui ?
Quels résultats aujourd’hui ?
Sur Angoulême en 2010 une première « vague » de barrières piétons est installée aux bibliothèques (centrale, St Cybard, Ma Campagne, Grande Garenne), aux marchés (Victor Hugo, Halles, Ma Campagne, Basseau, Pont de Vars), dans la cour de l’Hotel de Ville, à la poste centrale, au CIBDI, au Conservatoire. Inauguration en septembre 2009.
En 2011, sont équipés d’arceaux d’autres sites : place Louvel, place St Martial, Théatre, place de la Bussate, Musée, Bd de Bury, MPP.
Plus emblématique, la gare d’Angoulême est enfin équipée depuis 2011 de 8 arceaux, après l’entremise de Vélocité entre la mairie et la gare.
D’autres sites sont ensuite équipés.
Quelles perspectives ?
Nous sommes toujours en attente de l’équipement de : Conseil Général, Bd Besson Bey (2 sites aire de loisirs), Place du Minage, Stades Lebon, Chanzy, 3 Chênes... Ces sites ont été validés en commission circulation de la précédente mandature. Cela fait partie des chantiers à reprendre dans les discussions en cours avec la ville d’Angoulême.
Évidemment, ce sujet est à traiter également sur les autres communes.
A terme, un véritable maillage de l’agglomération doit permettre aux cyclistes de trouver des stationnements leur permettant d’accrocher leur vélo de manière sécurisé où qu’ils se rendent, comme c’est le cas dans toutes les villes cyclables.